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by Pierre Normal

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1.
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Cachette 04:39
Paroles --------- Plus d’indication, pas de dissuasion Plus de code, pas de signal Plus de symbole Pas de danger Pas de plan, plus de carte Pas de clôture électrifiée Pas de fil de fer brûlé Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver? Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver? La nécropole, un château fort, l’anti-trésor L’or Transmission de l’oubli Pour ne pas trouver, par où ne pas chercher? Ailleurs ou dans un désert, creusé dans la pierre Un soupirail, une meurtrière Noyé dans des containers enfouis loin dans d’autres mers Quelque part, un labyrinthe de couloirs
3.
Paroles --------- Plus d’indication, pas de dissuasion Plus de code, pas de signal Plus de symbole Pas de danger Pas de plan, plus de carte Pas de clôture électrifiée Pas de fil de fer brûlé Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver? Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver? La nécropole, un château fort, l’anti-trésor L’or Transmission de l’oubli Pour ne pas trouver, par où ne pas chercher? Ailleurs ou dans un désert, creusé dans la pierre Un soupirail, une meurtrière Noyé dans des containers enfouis loin dans d’autres mers Quelque part, un labyrinthe de couloirs
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Chorus 107 03:48
Paroles --------- La lumière est en retard oui car elle vous arrive après la réalisation vous voyez la lumière quand la sensation de voir la lumière s’est déjà inscrite dans la perception La perception notifie la discrimination et caetera la conscience jusqu’alors y avait pas de lumière donc la lumière est en retard L’obscurité est en retard Vous ne concevez l’obscurité qu’après avoir été en retard avec la lumière Quand vous avez appris la différence entre pôles égaux étincelants d’idées arbitraires Ce quelque chose étant ceci ou cela Demeurant dans cette demeure Déniant dans l’autre égal positif choc électrique bobine dacoïte tour huile tout est en retard
7.
Étage 12:48
8.
Paroles --------- Traces de départs précipités La clameur s’en est allée Au loin les lumières affolées Mes yeux blessés Ma peau irisée L’appel du métal refroidi Tu restes là immobile, sur une terre corrompue où l’invisible a tout altéré viens, ici le vent ne tue pas. La peur, le mauvais sort, viens, ici respire encore. C’est l’heure, c’est l’or, tes lendemains brûlent. Ailleurs je n’irai pas, ailleurs tu t’es perdu. Je n’irai pas, Je n’irai plus. Ailleurs n’existe pas, l’effroi n’existe plus . Je reste là, Je suis perdue. Le vent promène la poudre noire, il y a des vagues sur les pavés. Le ciel charrie des phénomènes, la brume iodée comme à la mer. Lentement sur nous, le soir descend. Il n’y a plus rien que la lente morsure des chimères des mirages. Arrache-toi au présent détruit qui dresse les cartes du monde à venir. N’y a-t-il plus rien que la lente morsure, tes chimères tes mirages. Pars, là-bas la sidération t’efface Pars, je sens que je perds ta trace Pars, là-bas la sidération t’efface Pars, je crois que je perds ta trace Pars, là-bas la sidération t’efface – Ailleurs n’existe pas Pars, je sens que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus Viens, ici le courant nous tient Viens, ici le courant nous tient Pars, là-bas la sidération t’efface – L’effroi n’existe pas Pars, je sens que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus Viens, ici le courant nous tient Viens, ici le courant nous tient Pars, là-bas la sidération t’efface – Ailleurs n’existe pas Pars, je sens que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus Viens, ici le courant nous tient – Nous n’irons pas, nous n’irons plus Viens, ici le courant nous tient Pars, là-bas la sidération t’efface – L’effroi n’existe pas Pars, je crois que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus Viens, ici le courant nous tient – Je reste là, je suis perdue Viens, ici le courant nous tient
9.
Tiramisu 00:48
10.
Paroles --------- Je suis électrique – prenez garde Je crache des étincelles tantôt positive, tantôt négative tantôt négative, tantôt positive Esprit de la technique Je fascine J’attire Je crépite, chuchote Je chuchote, crépite Espíritu de la técnica Court-circuit ahahaha Je fais contact Geist der Technik Geist der Technik étincelle, éclair, feu, lumière, turbine, machine, fer, ciment, béton béton béton béton béton
11.
Le bain 04:12
Paroles --------- Des veines se tracent sur le ciment lisse L’acier craque, se corrode, s’oxyde Fût-ce fissure ou faille, déchirure ou fuite Dans le dispositif à refroidir Fût-ce fissure ou faille Ici ou dehors Ici ou dehors Respire le même poison Absorbe la même concentration Seul le froid ici n’entre pas Seul le froid ici n’entre pas Laisse ta peur Abandonne tes protections Ne crains plus rien Viens tiédir dans l’eau qui dort Viens t’immerger dans la piscine Viens prendre un bain dans le bassin Laisse ta peur Viens t’immerger dans la piscine Abandonne tes protections Viens tiédir dans l’eau qui dort Ne crains plus rien Viens prendre un bain dans le bassin
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Paroles --------- Je suis électrique – prenez garde Je crache des étincelles tantôt positive, tantôt négative tantôt négative, tantôt positive Esprit de la technique Je fascine J’attire Je crépite, chuchote Je chuchote, crépite Espíritu de la técnica Court-circuit ahahaha Je fais contact Geist der Technik Geist der Technik étincelle, éclair, feu, lumière, turbine, machine, fer, ciment, béton béton béton béton béton
13.
Paroles --------- We came down The rivers and highways We came down from Forests and falls We came down from Carson and springfield We came down from Phoenix enthralled And I can tell you The names of the kingdom I can tell you The things that you know Listening for a fistful of silence Climbing valleys into the shade
14.
L'antre 04:29
Paroles --------- Après les escaliers, à droite Arrivé devant la porte, tire la chevillette Un grincement, une patte blanche Avance dans l’obscurité jusqu’au fond du couloir écarte les pans du rideau Et entre Dans l’antre Entre dans l’antre et viens mûrir à l’abri en secret Entre dans l’antre Car tu as ici des amis qui t’attendent Entends, un flot incessant Rire cinglant chuchotement De temps en temps presque un silence Qui parle, qui crie, d’autres qui collent des coups de poing sur le comptoir Encore Encore Encore à boire Encore à boire Car il faut des brumes pour conspirer Encore à boire Et de la glace pour rester aiguisé La gorge brûle Léger frisson Du sang dans le blanc des yeux Variations incohérentes dans la pulsation cardiaque Un nuage blanc, opaque, monte vers le plafond ça sent la sauge divinatoire Et la poussière ça sent la sueur le parfum le renfermé ça sent le moisi, l’alcool et la terre Il pleut Il pleut parfois depuis le toit Cette pluie battante Ne pourra rien Contre ce brasier qui s’avance, S’avance Depuis le toit, on voit au loin, la ville qui sent venir son heure, son heure. Il fait chaud sous la lampe rouge, l’éclairage est vacillant, De temps en temps, le lustre se balance Lorsqu’il rencontre un avant-bras, un poing, une épingle à chapeau, un cendrier qui vole.
15.
Feu follet 03:48
Paroles --------- Quand je suis diable dans la chambre Il faut sortir pour la balade Chercher le chemin de la chance Le chemin de l’angle Un nouvel angle Errance Minuit, une heure, la ville se meurt La ville est un cimetière de silence Où je rôde, âme bouillante L’air immobile dans les allées Les artères Les sépultures de béton noir inquiètent Et les cadavres dans les vitrines, les rideaux de fer En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, Un rendez-vous Sur les toits Le vent se lève dans mes veines Et la nuit lance un appel Le chat en moi s’éveille Un feu follet dans les hauteurs Brille pour l’oeil qui veille File une étoile juste en-dessous du ciel Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Un rendez-vous Sur les toits Je dois trouver par où me perdre De réverbère en réverbère Errer jusqu’à ce que la ville s’éveille Trouver la faille le sentier secret La ruelle L’escalier de fer qui mène juste en-dessous du ciel Je me souviens de toi En souvenir de quoi Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, Je me souviens de toi En souvenir de quoi Se souvenir de quoi, En souvenir de quoi, J’ai rendez-vous sur les toits.
16.
Poison 05:00
Paroles --------- Et pour finir, un regard et un sourire, un regard et un sourire Et puis tu prends ton verre, amer Viens, tu auras trop chaud, bientôt Allons à la fenêtre ou sortons prendre l’air, de l’air Allons voir si la lune est claire Tu trembles et tu as froid et ton regard, hagard N’aies pas peur de comprendre, il est déjà trop tard, trop tard Trop tard pour les mots d’usage sur le petit rouage, trop tard Pour garder la face, te soucier de l’honneur, ce n’est plus l’heure Lentement dans un brouillard tu pars
17.
Tapisch Land 07:56
18.
Paroles --------- Le souffle grandiose de la déesse Trinity balaya jadis le désert du nouveau Mexique et installa la force neuve des pionniers du grand ouest qui invitèrent le temps d'un siècle de silice Silice Sable Cratère, chaleur Zone vitrifiée par les besoins de l'impératrice tenant encore sa flamme immobile vigie campée dans les eaux de la presqu'île Crépuscule perpétuel aube éternelle Des cendres et de la poussière plus rien presque plus rien Noirs sont les puits de sable transparent où luisent encore les rêves de l'occident la puissance alpha zénith d'autrefois déborde les routines de contrôle et menace Menace Instable Dans tous les coeurs Zone liquidée par le ressac des écumes tièdes charriant les scories de la vieille industrie remuant les débris du poison final échappé des enceintes confinées Nous ne sommes pas morts dans la neige À travers les nuages de pierre le soleil nous brûle encore À travers les nuages de pierre dans le jour sans lumière de l'hiver artificiel l'évidence rampe sur nos échines bientôt liquides devant la promesse devant le corium expirant à jamais ses rayons sans limites qui scelleront l'horizon d'étendues interdites Des particules gelées planent dans les airs des petits cailloux noirs tombent du ciel sur la glace éblouis par le blanc ralenti étourdis par le bruit abîmés dans des mares de boues noires Nous ne sommes pas morts dans la neige à travers les nuages de pierre le soleil nous brûle encore à travers les nuages de pierre dans le jour sans lumière de l'hiver artificiel
19.
Ahhaha 00:33
20.
21.
Le feu 02:38
Paroles --------- Mon Dieu mon Dieu cela ne s’éteint pas Toute ma forêt je suis là qui brûle J’avais pris ce feu pour le crépuscule Je croyais mon coeur à son dernier pas J’attendais toujours le jour d’être cendres Je lisais vieillir où brise l’osier Je guettais l’instant d’après le brasier J’écoutais le chant descendre descendre J’étais du couteau de l’âge égorgé Je portais mes doigts où vivre me saigne Mesurant ainsi la fin de mon règne Le peu qu’il me reste et le rien que j’ai Et puisqu’il faut bien que douleur s’achève Parfois j’y prenais mon contentement Pariant sur l’ombre et sur le moment Où la porte ouvrant déchire le rêve Mais j’ai beau vouloir en avoir fini Guetter dans ce corps l’alarme et l’alerte L’absence et la nuit l’abîme et la perte J’en porte dans moi le profond déni Il s’y lève un vent qui tient du prodige L’approche de toi qui me fait printemps Je n’ai jamais eu de ma vie autant Même entre tes bras qu'aujourd’hui vertige Le souffrir d’aimer flamme perpétue En moi l’incendie étend ses ravages A rien n’a servi ni le temps ni l’âge Mon âme mon âme où m’entraînes-tu Où m’entraînes-tu
22.
Paroles ----------- Je meurs de soif auprès de la fontaine, Chaud comme feu, et tremble dent à dent; En mon pays suis en terre lointaine; Près d’un brasier frissonne tout ardent; Nu comme un ver, vêtu en président, Je ris en pleurs et attends sans espoir; Confort reprends en triste désespoir; Je m'éjouis et n'ai plaisir aucun; Puissant je suis sans force et sans pouvoir, Bien accueilli, débouté de chacun.   Rien ne m'est sûr que la chose incertaine; Obscur, fors ce qui est tout évident; Doute ne fais, fors en chose certaine; Science tiens à soudain accident; Je gagne tout et demeure perdant; Au point du jour dis: «Dieu vous dit bonsoir!» Gisant envers, j'ai grand peur de choir; J'ai bien de quoi et si n'en ai pas un; Echoite attends et d'homme ne suis hoir, Bien accueilli, débouté de chacun.   De rien n'ai soin, si mets toute ma peine D'acquérir biens et n'y suis prétendant; Qui mieux me dit, c'est lui qui plus me peine, Et qui plus vrai, lors plus me va bourdant; Mon ami est, qui me fait entendant D'un cygne blanc que c'est un corbeau noir; Et qui me nuit, crois qu'il m'aide à pouvoir; Vérité, bourde, aujourd'hui m'est tout un; Je retiens tout, rien ne sait concevoir, Bien accueilli, débouté de chacun.   Prince clément, or vous plaise savoir Que j'entends mout et n'ai sens ni savoir: Partial suis, à toutes lois commun. Que sais-je plus? Quoi? Les gages ravoir, Bien accueilli, débouté de chacun.
23.
Paroles ----------- Le réacteur La contagion La tyrannie des psychiatres Et les nains au ministère Les fourmilières L’assistante sociale Le vinyle sur le sol L’odeur de mes pieds J’en ai plus peur J’en ai plus peur J’en ai plus peur Je n’ai plus peur des oiseaux malades Je n’ai plus peur Je n’ai plus peur des mouchoirs sales Je n’ai plus peur Je n’ai plus peur de la lumière Je n’ai plus peur du noir Je n’ai plus peur des blancs dans les conversations Je n’ai plus peur du temps qui passe Je n’ai plus peur du temps qui reste Je n’ai plus peur qu’il soit trop tôt Je n’ai plus peur qu’il soit trop tard J’en ai plus peur J’en ai plus peur J’en ai plus peur Je n’ai plus peur du diagnostic des experts Je n’ai plus peur Je n’ai plus peur de te voir vieillir Je n’ai plus peur de mourir devant la porte Je n’ai plus peur de ton image Je n’ai plus peur Je n’ai plus peur des squats d’artiste
24.
Paroles --------- Les petites fleurs deviendront floues Tes lèvres froides Le silence un peu plus lent La pierre s'effrite Les images se délitent Persistent, entêtants les effluves du lilas blanc Les petites heures s'effaceront sous la lumière pâle La chair s'effrite ton sourire se désiste Persistent, enivrants les effluves du lilas blanc.
25.
Paroles --------- Sur le toit, pas sûre de toi, regarde en bas, les sirènes sont là Les lumières bleues qui réfléchissent, sur les façades déséquilibrent Tes bras tendus tremblent sous les étoiles La gravité entre nous deux J’ai tellement froid, je t’entend pas, d’un autre toit trop loin de moi Un précipice, encore une fois Un battement d’aile suffirait Les feux de détresse ont brûlé mes yeux et dans mes bras le sang trop froid L’horizon se penche L’horizon s’éloigne Autour de courants d’air ascendants Se retourner vite pour repartir ne pas courir ou tomber Une éclaircie, une illusion où dans ta voix, les sirènes se noient Au bord du vide Plus sûr de rien, rien, dans les mains tout se dérobe Depuis les cimes, défier l’asphalte, Nous ne pouvons plus nous incliner D’autres vertiges plus loin du froid par où s’enfuir attends-moi Partir Ne pas courir Reculer ou tomber Partir ou tomber Un précipice encore une fois Un battement d’aile suffira. Tétanisés Sous les étoiles La gravité entre nous deux Comme un élan trop près du bord hésitation derrière les lignes trop haute tension Attends-moi Ces visions muettes sur les balcons ces ombres blanches qui tournent en rond Dans un écho, Les sirènes reviennent Une éclaircie, une illusion au bord du vide plus sûrs de rien, rien, dans les mains tout se dérobe partir ou tomber d’autres vertiges plus loin du froid par où s’enfuir attends-moi Dans un élan trop près du bord hésitation trop haute tension.
26.
Paroles --------- Boire seul dormir seul ne pas s'épancher rien ne peut dépasser rien ne sera avoué apparence transparente plus de soi-même faire disparaître toutes les traces tout est sous contrôle auto-contrôle tout est prêt tout est prêt depuis longtemps Aller faire des rondes à l'aéroport envoyer des signaux lettre morte brouiller les pistes conversation anodine avec le téléphone attitude nonchalante au comptoir au fond d'un bar présence à 60% charisme de plante de bureau adapté Quand vont-ils venir? Quand vont-ils venir? Quelque chose va se produire Quelque chose doit se produire Mais quand vont-ils venir? Quand vont-ils venir? Chercher un indice dans les pages dans le journal personne ne se doute de rien personne ne se doute de rien Le départ est imminent les éléments sont concordants il y a des preuves et l'argent tombe régulièrement apparence transparente... faire disparaître toutes les traces... attitude nonchalante... charisme de plante de bureau... adapté... au mobilier... Mais quand vont-ils venir? Quand vont-ils venir? Quelque chose va se produire Quelque chose doit se produire Mais quand vont-ils venir? Quand vont-ils venir? Quelque chose va se produire Quelque chose doit se produire Quand vont-ils venir? Vont-ils venir?

about

En 2007, Pierre Normal sortait un CD avec neuf morceaux.
Suivirent d’autres chansons, concerts, compilations, bloc-notes.
Soudain, Pierre Normal éberlué vit que dix ans étaient passés. Mais le temps de le dire, voilà que c’étaient douze; les chiffres galopent, et donnent le tournis.

credits

released May 16, 2019

Au long des prochaines semaines, Pierre Normal publiera quelques-unes des archives issues de ces douze dernières années.

Elles remonteront du fond des mers et dessineront des Atlantides.
Elles s’échapperont des tiroirs d’une administration fantoche et seront le nouvel ordre de mission d’un agent dormant.
Elles diront la traînée poussiéreuse d’une comète et se feront aboiements, poux, parasites, beauté du lilas, fameux desserts, mutations enfantines, errances nocturnes, neutrons dansants, conjurations, poisons secrets.
Elles inviteront les Doors, Coeurvert, Glibert, Aragon, Martin, Morelli, Villon, Leonardi, Schwitters, Major Minuit, Kerouac et Lautréamont.

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Pierre Normal Brussels, Belgium

Pierre Normal apparaît lorsque Rachel Sassi, P. Jupiter et d. trep se rejoignent pour devenir ce qu'ils ne peuvent pas être tout seuls. Ils allument leurs instruments électroniques, et chantent. Il y a une amitié pour les plaines dégagées, les ciels bas et les fines pluies fraîches. ... more

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