1. |
Soleil levant
10:08
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2. |
Cachette
04:39
|
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Paroles
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Plus d’indication, pas de dissuasion
Plus de code, pas de signal
Plus de symbole
Pas de danger
Pas de plan, plus de carte
Pas de clôture électrifiée
Pas de fil de fer brûlé
Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver?
Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver?
La nécropole, un château fort, l’anti-trésor
L’or
Transmission de l’oubli
Pour ne pas trouver, par où ne pas chercher?
Ailleurs ou dans un désert, creusé dans la pierre
Un soupirail, une meurtrière
Noyé dans des containers enfouis loin dans d’autres mers
Quelque part, un labyrinthe de couloirs
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||||
3. |
Cachette – bloc-note
04:32
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|||
Paroles
---------
Plus d’indication, pas de dissuasion
Plus de code, pas de signal
Plus de symbole
Pas de danger
Pas de plan, plus de carte
Pas de clôture électrifiée
Pas de fil de fer brûlé
Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver?
Par où ne pas chercher, pour ne pas trouver?
La nécropole, un château fort, l’anti-trésor
L’or
Transmission de l’oubli
Pour ne pas trouver, par où ne pas chercher?
Ailleurs ou dans un désert, creusé dans la pierre
Un soupirail, une meurtrière
Noyé dans des containers enfouis loin dans d’autres mers
Quelque part, un labyrinthe de couloirs
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4. |
Hybride chimères 1
11:40
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5. |
Hybride chimères 2
14:26
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6. |
Chorus 107
03:48
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|||
Paroles
---------
La lumière est en retard
oui
car
elle vous arrive après la réalisation
vous voyez la lumière
quand
la sensation de voir la lumière
s’est déjà inscrite dans la perception
La perception notifie la discrimination
et caetera
la conscience
jusqu’alors y avait pas de lumière
donc la lumière est en retard
L’obscurité est en retard
Vous ne concevez l’obscurité qu’après
avoir été en retard avec la lumière
Quand vous avez appris la différence
entre pôles égaux
étincelants d’idées arbitraires
Ce quelque chose étant ceci ou cela
Demeurant dans cette demeure
Déniant dans l’autre
égal positif
choc électrique
bobine dacoïte
tour huile
tout
est
en
retard
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7. |
Étage
12:48
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8. |
Neutron danse
04:42
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Paroles
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Traces de départs précipités
La clameur s’en est allée
Au loin les lumières affolées
Mes yeux blessés
Ma peau irisée
L’appel du métal refroidi
Tu restes là immobile,
sur une terre corrompue
où l’invisible a tout altéré
viens, ici le vent ne tue pas.
La peur, le mauvais sort,
viens, ici respire encore.
C’est l’heure, c’est l’or,
tes lendemains brûlent.
Ailleurs je n’irai pas,
ailleurs tu t’es perdu.
Je n’irai pas,
Je n’irai plus.
Ailleurs n’existe pas,
l’effroi n’existe plus .
Je reste là,
Je suis perdue.
Le vent promène la poudre noire,
il y a des vagues sur les pavés.
Le ciel charrie des phénomènes,
la brume iodée comme à la mer.
Lentement sur nous,
le soir descend.
Il n’y a plus rien que la lente morsure
des chimères des mirages.
Arrache-toi au présent détruit
qui dresse les cartes du monde à venir.
N’y a-t-il plus rien que la lente morsure,
tes chimères tes mirages.
Pars, là-bas la sidération t’efface
Pars, je sens que je perds ta trace
Pars, là-bas la sidération t’efface
Pars, je crois que je perds ta trace
Pars, là-bas la sidération t’efface – Ailleurs n’existe pas
Pars, je sens que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus
Viens, ici le courant nous tient
Viens, ici le courant nous tient
Pars, là-bas la sidération t’efface – L’effroi n’existe pas
Pars, je sens que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus
Viens, ici le courant nous tient
Viens, ici le courant nous tient
Pars, là-bas la sidération t’efface – Ailleurs n’existe pas
Pars, je sens que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus
Viens, ici le courant nous tient – Nous n’irons pas, nous n’irons plus
Viens, ici le courant nous tient
Pars, là-bas la sidération t’efface – L’effroi n’existe pas
Pars, je crois que je perds ta trace – Toi tu n’existes plus
Viens, ici le courant nous tient – Je reste là, je suis perdue
Viens, ici le courant nous tient
|
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9. |
Tiramisu
00:48
|
|||
10. |
Miss électricité
05:12
|
|||
Paroles
---------
Je suis électrique – prenez garde
Je crache
des étincelles
tantôt positive, tantôt négative
tantôt négative, tantôt positive
Esprit de la technique
Je fascine
J’attire
Je crépite, chuchote
Je chuchote, crépite
Espíritu de la técnica
Court-circuit
ahahaha
Je fais
contact
Geist der Technik
Geist der Technik
étincelle, éclair, feu, lumière,
turbine, machine, fer, ciment, béton
béton
béton
béton
béton
|
||||
11. |
Le bain
04:12
|
|||
Paroles
---------
Des veines se tracent sur le ciment lisse
L’acier craque, se corrode, s’oxyde
Fût-ce fissure ou faille, déchirure ou fuite
Dans le dispositif à refroidir
Fût-ce fissure ou faille
Ici ou dehors
Ici ou dehors
Respire le même poison
Absorbe la même concentration
Seul le froid ici n’entre pas
Seul le froid ici n’entre pas
Laisse ta peur
Abandonne tes protections
Ne crains plus rien
Viens tiédir dans l’eau qui dort
Viens t’immerger dans la piscine
Viens prendre un bain dans le bassin
Laisse ta peur
Viens t’immerger dans la piscine
Abandonne tes protections
Viens tiédir dans l’eau qui dort
Ne crains plus rien
Viens prendre un bain dans le bassin
|
||||
12. |
||||
Paroles
---------
Je suis électrique – prenez garde
Je crache
des étincelles
tantôt positive, tantôt négative
tantôt négative, tantôt positive
Esprit de la technique
Je fascine
J’attire
Je crépite, chuchote
Je chuchote, crépite
Espíritu de la técnica
Court-circuit
ahahaha
Je fais
contact
Geist der Technik
Geist der Technik
étincelle, éclair, feu, lumière,
turbine, machine, fer, ciment, béton
béton
béton
béton
béton
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||||
13. |
Names of the Kingdom
01:26
|
|||
Paroles
---------
We came down
The rivers and highways
We came down from
Forests and falls
We came down from
Carson and springfield
We came down from
Phoenix enthralled
And I can tell you
The names of the kingdom
I can tell you
The things that you know
Listening for a fistful of silence
Climbing valleys into the shade
|
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14. |
L'antre
04:29
|
|||
Paroles
---------
Après les escaliers, à droite
Arrivé devant la porte, tire la chevillette
Un grincement, une patte blanche
Avance dans l’obscurité jusqu’au fond du couloir
écarte les pans du rideau
Et entre
Dans l’antre
Entre dans l’antre
et viens mûrir à l’abri
en secret
Entre dans l’antre
Car tu as ici des amis qui t’attendent
Entends, un flot incessant
Rire cinglant chuchotement
De temps en temps presque un silence
Qui parle, qui crie, d’autres qui collent des coups de poing sur le comptoir
Encore
Encore
Encore à boire
Encore à boire
Car il faut des brumes pour conspirer
Encore à boire
Et de la glace pour rester aiguisé
La gorge brûle
Léger frisson
Du sang dans le blanc des yeux
Variations incohérentes dans la pulsation cardiaque
Un nuage blanc, opaque, monte vers le plafond
ça sent la sauge divinatoire
Et la poussière
ça sent la sueur le parfum le renfermé
ça sent le moisi, l’alcool et la terre
Il pleut
Il pleut parfois depuis le toit
Cette pluie battante
Ne pourra rien
Contre ce brasier qui s’avance,
S’avance
Depuis le toit, on voit au loin, la ville qui sent venir son heure, son heure.
Il fait chaud sous la lampe rouge, l’éclairage est vacillant,
De temps en temps, le lustre se balance
Lorsqu’il rencontre un avant-bras, un poing, une épingle à chapeau, un cendrier qui vole.
|
||||
15. |
Feu follet
03:48
|
|||
Paroles
---------
Quand je suis diable dans la chambre
Il faut sortir pour la balade
Chercher le chemin de la chance
Le chemin de l’angle
Un nouvel angle
Errance
Minuit, une heure, la ville se meurt
La ville est un cimetière de silence
Où je rôde, âme bouillante
L’air immobile dans les allées
Les artères
Les sépultures de béton noir
inquiètent
Et les cadavres dans les vitrines,
les rideaux de fer
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
Un rendez-vous
Sur les toits
Le vent se lève dans mes veines
Et la nuit lance un appel
Le chat en moi s’éveille
Un feu follet dans les hauteurs
Brille pour l’oeil qui veille
File une étoile juste en-dessous du ciel
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Un rendez-vous
Sur les toits
Je dois trouver par où me perdre
De réverbère en réverbère
Errer jusqu’à ce que la ville s’éveille
Trouver la faille le sentier secret
La ruelle
L’escalier de fer qui mène
juste en-dessous du ciel
Je me souviens de toi
En souvenir de quoi
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
Je me souviens de toi
En souvenir de quoi
Se souvenir de quoi,
En souvenir de quoi,
J’ai rendez-vous sur les toits.
|
||||
16. |
Poison
05:00
|
|||
Paroles
---------
Et pour finir,
un regard et un sourire,
un regard et un sourire
Et puis tu prends ton verre,
amer
Viens, tu auras trop chaud,
bientôt
Allons à la fenêtre
ou sortons prendre l’air,
de l’air
Allons voir si la lune
est claire
Tu trembles et tu as froid
et ton regard,
hagard
N’aies pas peur de comprendre,
il est déjà trop tard,
trop tard
Trop tard pour les mots d’usage
sur le petit rouage,
trop tard
Pour garder la face,
te soucier de l’honneur,
ce n’est plus l’heure
Lentement dans un brouillard
tu pars
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17. |
Tapisch Land
07:56
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18. |
L'impératrice
04:38
|
|||
Paroles
---------
Le souffle grandiose de la déesse Trinity
balaya jadis le désert du nouveau Mexique
et installa la force neuve des pionniers du grand ouest
qui invitèrent le temps d'un siècle de silice
Silice
Sable
Cratère, chaleur
Zone vitrifiée par les besoins de l'impératrice
tenant encore sa flamme immobile
vigie campée dans les eaux de la presqu'île
Crépuscule perpétuel aube éternelle
Des cendres et de la poussière
plus rien presque plus rien
Noirs sont les puits de sable transparent
où luisent encore les rêves de l'occident
la puissance alpha zénith d'autrefois
déborde les routines de contrôle et menace
Menace
Instable
Dans tous les coeurs
Zone liquidée par le ressac des écumes tièdes
charriant les scories de la vieille industrie
remuant les débris du poison final
échappé
des enceintes
confinées
Nous ne sommes pas morts dans la neige
À travers les nuages de pierre le soleil nous brûle encore
À travers les nuages de pierre dans le jour sans lumière
de l'hiver artificiel
l'évidence rampe sur nos échines bientôt liquides
devant la promesse devant le corium expirant à jamais
ses rayons sans limites qui scelleront l'horizon d'étendues interdites
Des particules gelées planent dans les airs
des petits cailloux noirs tombent du ciel sur la glace
éblouis par le blanc ralenti
étourdis par le bruit
abîmés dans des mares de boues noires
Nous ne sommes pas morts dans la neige
à travers les nuages de pierre le soleil nous brûle encore
à travers les nuages de pierre dans le jour sans lumière
de l'hiver artificiel
|
||||
19. |
Ahhaha
00:33
|
|||
20. |
Je ne peux pas
01:46
|
|||
21. |
Le feu
02:38
|
|||
Paroles
---------
Mon Dieu mon Dieu cela ne s’éteint pas
Toute ma forêt je suis là qui brûle
J’avais pris ce feu pour le crépuscule
Je croyais mon coeur à son dernier pas
J’attendais toujours le jour d’être cendres
Je lisais vieillir où brise l’osier
Je guettais l’instant d’après le brasier
J’écoutais le chant descendre descendre
J’étais du couteau de l’âge égorgé
Je portais mes doigts où vivre me saigne
Mesurant ainsi la fin de mon règne
Le peu qu’il me reste et le rien que j’ai
Et puisqu’il faut bien que douleur s’achève
Parfois j’y prenais mon contentement
Pariant sur l’ombre et sur le moment
Où la porte ouvrant déchire le rêve
Mais j’ai beau vouloir en avoir fini
Guetter dans ce corps l’alarme et l’alerte
L’absence et la nuit l’abîme et la perte
J’en porte dans moi le profond déni
Il s’y lève un vent qui tient du prodige
L’approche de toi qui me fait printemps
Je n’ai jamais eu de ma vie autant
Même entre tes bras qu'aujourd’hui vertige
Le souffrir d’aimer flamme perpétue
En moi l’incendie étend ses ravages
A rien n’a servi ni le temps ni l’âge
Mon âme mon âme où m’entraînes-tu
Où m’entraînes-tu
|
||||
22. |
||||
Paroles
-----------
Je meurs de soif auprès de la fontaine,
Chaud comme feu, et tremble dent à dent;
En mon pays suis en terre lointaine;
Près d’un brasier frissonne tout ardent;
Nu comme un ver, vêtu en président,
Je ris en pleurs et attends sans espoir;
Confort reprends en triste désespoir;
Je m'éjouis et n'ai plaisir aucun;
Puissant je suis sans force et sans pouvoir,
Bien accueilli, débouté de chacun.
Rien ne m'est sûr que la chose incertaine;
Obscur, fors ce qui est tout évident;
Doute ne fais, fors en chose certaine;
Science tiens à soudain accident;
Je gagne tout et demeure perdant;
Au point du jour dis: «Dieu vous dit bonsoir!»
Gisant envers, j'ai grand peur de choir;
J'ai bien de quoi et si n'en ai pas un;
Echoite attends et d'homme ne suis hoir,
Bien accueilli, débouté de chacun.
De rien n'ai soin, si mets toute ma peine
D'acquérir biens et n'y suis prétendant;
Qui mieux me dit, c'est lui qui plus me peine,
Et qui plus vrai, lors plus me va bourdant;
Mon ami est, qui me fait entendant
D'un cygne blanc que c'est un corbeau noir;
Et qui me nuit, crois qu'il m'aide à pouvoir;
Vérité, bourde, aujourd'hui m'est tout un;
Je retiens tout, rien ne sait concevoir,
Bien accueilli, débouté de chacun.
Prince clément, or vous plaise savoir
Que j'entends mout et n'ai sens ni savoir:
Partial suis, à toutes lois commun.
Que sais-je plus? Quoi? Les gages ravoir,
Bien accueilli, débouté de chacun.
|
||||
23. |
Je n'ai plus peur
05:15
|
|||
Paroles
-----------
Le réacteur
La contagion
La tyrannie des psychiatres
Et les nains au ministère
Les fourmilières
L’assistante sociale
Le vinyle sur le sol
L’odeur de mes pieds
J’en ai plus peur
J’en ai plus peur
J’en ai plus peur
Je n’ai plus peur des oiseaux malades
Je n’ai plus peur
Je n’ai plus peur des mouchoirs sales
Je n’ai plus peur
Je n’ai plus peur de la lumière
Je n’ai plus peur du noir
Je n’ai plus peur des blancs
dans les conversations
Je n’ai plus peur du temps qui passe
Je n’ai plus peur du temps qui reste
Je n’ai plus peur qu’il soit trop tôt
Je n’ai plus peur qu’il soit trop tard
J’en ai plus peur
J’en ai plus peur
J’en ai plus peur
Je n’ai plus peur du diagnostic des experts
Je n’ai plus peur
Je n’ai plus peur de te voir vieillir
Je n’ai plus peur de mourir devant la porte
Je n’ai plus peur de ton image
Je n’ai plus peur
Je n’ai plus peur des squats d’artiste
|
||||
24. |
||||
Paroles
---------
Les petites fleurs deviendront floues
Tes lèvres froides
Le silence un peu plus lent
La pierre s'effrite
Les images se délitent
Persistent,
entêtants
les effluves du lilas blanc
Les petites heures s'effaceront sous
la lumière pâle
La chair s'effrite
ton sourire se désiste
Persistent,
enivrants
les effluves du lilas
blanc.
|
||||
25. |
||||
Paroles
---------
Sur le toit,
pas sûre de toi,
regarde en bas, les sirènes sont là
Les lumières bleues qui réfléchissent,
sur les façades
déséquilibrent
Tes bras tendus tremblent sous les étoiles
La gravité entre nous deux
J’ai tellement froid,
je t’entend pas,
d’un autre toit trop loin de moi
Un précipice,
encore une fois
Un battement d’aile suffirait
Les feux de détresse ont brûlé mes yeux
et dans mes bras
le sang trop froid
L’horizon se penche
L’horizon s’éloigne
Autour de courants d’air ascendants
Se retourner vite pour repartir
ne pas courir ou tomber
Une éclaircie, une illusion où dans ta voix,
les sirènes se noient
Au bord du vide
Plus sûr de rien,
rien, dans les mains
tout se dérobe
Depuis les cimes,
défier l’asphalte,
Nous ne pouvons plus nous incliner
D’autres vertiges plus loin du froid
par où s’enfuir
attends-moi
Partir
Ne pas courir
Reculer ou tomber
Partir ou tomber
Un précipice
encore une fois
Un battement d’aile suffira.
Tétanisés
Sous les étoiles
La gravité entre nous deux
Comme un élan trop près du bord
hésitation derrière les lignes
trop haute tension
Attends-moi
Ces visions muettes sur les balcons
ces ombres blanches qui tournent en rond
Dans un écho,
Les sirènes reviennent
Une éclaircie,
une illusion
au bord du vide plus sûrs de rien,
rien, dans les mains
tout se dérobe
partir ou tomber
d’autres vertiges plus loin du froid
par où s’enfuir
attends-moi
Dans un élan trop près du bord
hésitation trop haute tension.
|
||||
26. |
Agent dormant (live)
05:07
|
|||
Paroles
---------
Boire seul
dormir seul
ne pas s'épancher
rien ne peut dépasser
rien ne sera avoué
apparence transparente
plus de soi-même
faire disparaître toutes les traces
tout est sous contrôle
auto-contrôle
tout est prêt
tout est prêt depuis longtemps
Aller faire des rondes à l'aéroport
envoyer des signaux
lettre morte
brouiller les pistes
conversation anodine
avec le téléphone
attitude nonchalante au comptoir
au fond d'un bar
présence à 60%
charisme de plante de bureau
adapté
Quand vont-ils venir?
Quand vont-ils venir?
Quelque chose va se produire
Quelque chose doit se produire
Mais quand vont-ils venir?
Quand vont-ils venir?
Chercher un indice dans les pages
dans le journal
personne ne se doute de rien
personne ne se doute de rien
Le départ est imminent
les éléments sont concordants
il y a des preuves
et l'argent tombe
régulièrement
apparence transparente...
faire disparaître toutes les traces...
attitude nonchalante...
charisme de plante de bureau... adapté...
au mobilier...
Mais quand vont-ils venir?
Quand vont-ils venir?
Quelque chose va se produire
Quelque chose doit se produire
Mais quand vont-ils venir?
Quand vont-ils venir?
Quelque chose va se produire
Quelque chose doit se produire
Quand vont-ils venir?
Vont-ils venir?
|
Pierre Normal Brussels, Belgium
Pierre Normal apparaît lorsque Rachel Sassi, P. Jupiter et d. trep se rejoignent pour devenir ce qu'ils ne peuvent pas être tout seuls. Ils allument leurs instruments électroniques, et chantent. Il y a une amitié pour les plaines dégagées, les ciels bas et les fines pluies fraîches. ... more
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